Ce que l’on sait est toujours lié au passé et par conséquent vous lie vous-même au passé. La compréhension au contraire n’est pas une conclusion, n’est pas accumulation. Si vous avez écouté vous avez compris.
Comprendre est attention. Quand votre attention est complète vous comprenez.
C’est ainsi que la compréhension de la peur est la fin de la peur. Votre croyance dès lors ne peut plus être un facteur prédominant ; c’est la compréhension de la peur qui est prédominante.
Dès l’instant où il n’y a pas de peur, il y a liberté. Alors seulement l’on est capable de découvrir ce qui est vrai. Quand « ce qui est » n’est pas déformé par la peur, alors « ce qui est » est vrai.
Il ne s’agit pas du mot ; vous ne pouvez pas mesurer la vérité avec des mots. L’amour n’est pas un mot ni une croyance, ni un objet que vous puissiez saisir pour dire : « II est à moi. » Sans amour et sans beauté ce que vous appelez Dieu n’est rien du tout.”
Le Changement créateur. Chapitre “CROIRE” p154 à p160